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Éthologie

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Comportement du cheval

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Vie du cheval

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Apprentissage du cheval

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Éthologie

Quels sont les besoins fondamentaux / vitaux du cheval ?

Il existe 6 besoins fondamentaux / vitaux pour le cheval :

    • Respirer
    • Boire
    • Manger
    • Dormir
    • Bouger
    • Communiquer

Source : lacompagniedesanimaux.com

Que mange le cheval ?

Le cheval est un herbivore, il mange :

  • De l’herbe pâturée, potentiellement de 50 à 100 kg bruts par jour si elle est disponible et en fonction de ses besoins physiologiques
  • Des fourrages conservés (foin, enrubannage et ensilage, paille)
  • Des aliments concentrés (des graines de céréales diverses ou des aliments élaborés contenants des céréales, tourteaux, co-produits, fourrages, minéraux et vitamines). Pour plus de précisions : lire une étiquette d’aliment

Source : equipedia.ifce.fr

Quels sont les besoins nutritionnels du cheval ?

Les besoins en éléments nutritifs sont issus des dépenses liées au fonctionnement de l’organisme : constituants énergétiques, protéines, minéraux, vitamines et eau.

Source : equipedia.ifce.fr

Comportement du cheval

Comment définir un comportement ?

Pour définir correctement un comportement il faut qu’il soit :

  • observable (on peut le voir)
  • Mesurable (on peut le quantifier)
  • spécifique (on peut fermer les yeux et se l’imaginer).

Définir le comportement c’est faire une description précise et avoir le minimum d’interprétation.

Qu’est–ce qu’un trouble du comportement ?

Un trouble du comportement est:

  • un comportement anormal du cheval au vu de son éthogramme en milieu naturel (par exemple : tiquer à l’appui, c’est quelque chose qu’un cheval sauvage ne fait pas, il n’a pas été « programmé » pour ça en quelque sorte),
  • qui est dû à des conditions de vie ou de travail inadaptées, des besoins fondamentaux non respectés,
  • qui ne peut se résoudre que par un changement de ces facteurs.
Quels sont les éléments qui influencent le tempérament ?

Plusieurs éléments sont susceptibles d’influencer le tempérament d’un cheval. Les différences individuelles que l’on observe sont le résultat de nombreux paramètres, notamment :

  • La génétique(effet de la race, des origines paternelles et maternelles…) ;
  • Le vécu de l’individu et son environnement (le comportement de la mère, le type de logement, le type de contact avec les humains…) ;
  • L’âge (l’émotivité diminue avec l’âge à partir de 1 an) ;
  • Le sexe (il semblerait que les étalons soient plus grégaires, émotifs et actifs que les juments, même si tous les auteurs scientifiques ne s’accordent pas sur ce sujet) ;
  • Le moment où se déroule un événement (il y a des périodes sensibles dans la vie d’un cheval, comme la naissance, le sevrage, le début du dressage, où certains événements auront des répercussions plus importantes sur le tempérament).

Source : equipedia.ifce.fr

Qu'est ce qu'une analyse comportementale ?

L’analyse comportementale permet de quantifier précisément la fréquence / intensité / latence / durée d’un comportement

 En gros, elle donne des données FIABLES sur l’apprentissage d’un individu

  • On mesure le changement
  • On limite les interprétations
  • On utilise principalement le renforcement positif
  • On essaie de parfaitement contrôler nos variables
  • On se fixe un plafond au-dessus duquel on détermine un exercice comme appris (autour de 85% de bonnes réponses)
Quand parle - t - on de comportements stéréotypés ?

Les stéréotypies sont définies comme des modèles de comportement invariables et répétitifs qui n’ont pas d’objectif ou de fonction évidents (Mason 1993) et qui ne peuvent pas être facilement interrompus. 

Ils commencent souvent lorsque le cheval subit un certain stress et est motivé à adopter le comportement pour atteindre un objectif naturellement souhaité, mais est en quelque sorte empêché d’exécuter ce comportement et d’atteindre l’objectif. 

La détresse qui en résulte incite alors le cheval à adopter ce comportement aberrant à la place, et c’est pourquoi les stéréotypies sont souvent appelées mécanismes d’adaptation. 

Le cheval essaie de combler un besoin non satisfait. 

Plus ces comportements sont pratiqués et rassurent le cheval, plus ils sont répétés, souvent avec beaucoup moins de stimulation que dans la situation d’origine. 

Exemple : tic à l’appui, tic à l’air, tic à l’ours, encensement…

Qu’est-ce qu’un comportement indésirable ?

Un comportement indésirable est: 

  • un comportement normal, fonctionnel du cheval, un composant naturel de son éthogramme (= la liste de ses comportements naturels, « de base »), 

  • qui n’est pas souhaité par son propriétaire ou son cavalier,

Il principalement causé par la peur et/ou la douleur (ou l’anticipation de celles-ci), du fait généralement de l’intervention humaine.

Comment évaluer la personnalité du cheval ?

En France, 5 dimensions sont principalement étudiées :

  • L’émotivité (peur)
  • La grégarité
  • La sensibilité tactile
  • L’activité locomotrice
  • La réactivité vis-à-vis des humains

Source : equipedia.ifce.fr

Comment communique le cheval ?

Chez les chevaux vivant en groupe, les situations de communication sont très nombreuses et ponctuent leur vie en permanence. La communication chez les chevaux repose sur tous leurs sens : vue, odorat, ouïe, toucher, goût (léchage)…

Source : equipedia.ifce.fr

Qu'est ce que la motivation du cheval ?

La motivation est ce qui permet à un animal d’exprimer des comportements par ordre de PRIORITÉ (Un cheval qui s’approche d’un point d’eau ou l’attend un prédateur)

L’action d’un cheval est donc le reflet de ses motivations et de ses apprentissages, pas de son « envie »

La motivation n’est pas à confondre avec le choix : Un cheval qui refuse d’avancer, qui rue, qui prend peur, le fait parce que sa réponse est une réponse LOGIQUE pour lui

L’idée que le cheval doit être puni parce qu’il « n’a pas envie » ou « niaise le cavalier » soulève un gros problème éthique

Source : Cours AZCA « Équitation éthique : par où commencer ? »

Vie du cheval

Pourquoi le cheval doit - il pouvoir s'alimenter en continu ?

Le cheval est un herbivore monogastrique qui ne possède qu’un seul estomac, de très petite taille. Son intestin grêle est quant à lui long et étroit.

Ces particularités anatomiques l’obligent donc à s’alimenter en continu, mais en petites quantités, tout au long de la journée.

À l’état naturel, le cheval passe ainsi la majeure partie de son temps à brouter de l’herbe par petites prises successives (environ 15 h/jour).

Source : equipedia.ifce.fr

Comment évaluer le bien être du cheval ?

Le bien-être d’un animal est « l’état mental et physique positif lié à la satisfaction de ses besoins physiologiques et comportementaux, ainsi que de ses attentes.

Cet état varie en fonction de la perception de la situation par l’animal ».

Cette définition, publiée par l’ANSES en 2018, est applicable à tous les animaux, y compris les chevaux.

Source : equipedia.ifce.fr

Qu'est - ce que la domestication ? Et quelles sont ses conséquences ?

La domestication est un processus qui conduit à la sélection d’une population d’individus ayant une aptitude à accepter les contraintes imposées par l’homme (Faure & Le Neindre,2009)

Conséquence : Cela nécessite une flexibilité des comportements, en particulier accepter la présence de l’homme.

Quelles sont les constantes de base du cheval ?

La fréquence cardiaque

  • Au repos, un cheval a une fréquence cardiaque moyenne de 32-44 battements par minute pour un adulte et de 50 à 70 pour un poulain.
  • C’est une moyenne qui peut varier suivant le cheval (taille, caractère…) et suivant des facteurs externes (stress, efforts…).

La fréquence respiratoire

Au repos, un cheval a une fréquence respiratoire moyenne de 8 à 14 mouvements respiratoires par minute.

Source : vetopedia
Comment améliorer le bien être du cheval au box ?

La vie d’un cheval n’est pas au box. Certes… Mais parfois ce n’est pas possible autrement pour le propriétaire. 

Afin d’assurer de meilleures conditions de vie au cheval au box, il est préconisé de :

  • Soigner son environnement
    • propreté du box
    • qualité / quantité de la litière
    • ventilation du box
    • relation (à minima visuelle) avec les congénères
    • ouverture du box vers l’extérieur ou par dessus la porte
  • Entretenir des habitudes
    • La routine lui évitera de s’impatienter et de stresser
    • donner à manger à heure fixe (minimum 2 à 3 fois par jour), ET s’assurer qu’il ait du foin et de l’eau à volonté.
    •  
  • Assurer une activité quotidienne
    • Le cheval au box a besoin de vous pour se dépenser !
    • il est nécessaire que votre cheval puisse se dégourdir les pattes afin qu’il n’y ait pas de frustration.
    • il est nécessaire de distraire le cheval, par la présence / contacts de congénères si possible, sinon enrichir son environnement par un « jouet ».

Apprentissage chez le cheval

Qu'est - ce qu'un apprentissage ?

Un apprentissage est une modification durable du comportement d’un individu comme résultat d’une expérience passée, exprimée par l’animal après exposition à un (des) stimulus (stimuli) environnemental (environnementaux).

L’animal reproduira ce nouveau comportement quand il sera à nouveau confronté au même stimulus.

En général, les animaux modifient leur comportement de la façon qui leur est la plus favorable.

Source : equipedia.ifce.fr

Qu'est - ce qu'un stimulus ?
Un stimulus est un acteur provoquant une réponse comportementale chez un animal.
Exemple : les chiens de Pavlov salivaient en réponse à la sonnerie de la cloche, le stimulus conditionné, parce qu’il avait été associé à la nourriture, le stimulus inconditionné.
Qu'est - ce qu'un conditionnement opérant ?

Aussi appelé « apprentissage instrumental », « apprentissage par stimulus-réponse » ou « apprentissage par essais et erreurs », le conditionnement opérant se produit lorsqu’un animal apprend que ses actions sont liées à des conséquences et, à ce titre, modifie son comportement. .

Les réponses possibles, ou conséquences, sont le renforcement positif , le renforcement négatif , la punition positive et la punition négative .

Exemple : un rat dans une « Skinner box » choisit de pousser un levier, agissant ainsi sur son environnement. Le résultat de cette action pourrait être une récompense alimentaire, un choc électrique, etc., ce qui a un effet direct sur la façon dont le rat choisira de se comporter à l’avenir.

Qu'est - ce que le renforcement négatif ?

La cessation/suppression (donc « négatif ») d’un stimulus que le cheval trouve aversif et, par conséquent, a pour effet d’augmenter la probabilité (c’est-à-dire de « renforcer ») qu’un comportement se produise à l’avenir. 

Dans l’entraînement traditionnel des chevaux, il s’agit généralement de la libération d’une certaine forme de pression à l’instance d’un comportement souhaité. 

Ceci s’applique aussi bien aux pressions très douces qu’aux pressions extrêmes. Si le relâchement de la pression est en effet souhaitable pour le cheval, ce n’est pas une récompense ; une récompense est un renforcement positif et active différents circuits cérébraux.

Exemple : la pression exercée, via les rênes, sur le mors d’un cheval en mouvement est relâchée au moment où le cheval s’immobilise. L’arrêt a été renforcé négativement. 

De même, se tenir au soleil peut éventuellement devenir inconfortablement chaud et se déplacer à l’intérieur peut fournir une libération de cet inconfort – se déplacer à l’intérieur est renforcé négativement.

Qu'est - ce qu'une punition négative ?

Le retrait (d’où « négatif », comme dans « enlever ») de quelque chose de désirable en réponse à un comportement indésirable. 

Il y a des utilisations limitées dans l’entraînement des chevaux en raison de la difficulté à retirer au bon moment quelque chose de désirable. 

De par sa nature, la punition ne tient pas compte des raisons derrière les comportements indésirables perçus et peut donc constituer un problème de bien-être, en particulier si la nourriture, l’eau ou les compagnons sont retirés.

Exemple : un cheval qui devient insistant en demandant des retraits peut devenir moins insistant à l’avenir si l’entraîneur rend les retraits indisponibles dans ces cas.

Qu'est - ce qu'un pont ?

Un pont est un marqueur qui indique qu’un renfort est en route. 

Généralement utilisé dans l’entraînement au clicker, le bruit du clic forme le pont entre le comportement et le moment de la récompense réelle. 

Par le conditionnement classique , le clic devient un renforçateur secondaire ; son véritable pouvoir est qu’il facilite le conditionnement opérant en aidant le cheval à faire le lien entre le comportement souhaité et la récompense alimentaire. 

Les ponts peuvent être « terminaux », indiquant que le comportement est terminé et que la récompense finale est sur son chemin, ou « intermédiaires », jouant le rôle d’un « signal de continuité ». Notez que les ponts choisis pour être utilisés par l’entraîneur ne sont pas nécessairement ceux observés par le cheval.

Exemple : Un cheval touche une cible et entend simultanément un « clic ». Il voit alors la main du dresseur entrer dans le sac à friandises pour obtenir une friandise. Le clic et le mouvement de la main servent de ponts.

Qu'est - ce que l'impuissance apprise / acquise ?

C’est un phénomène qui se produit lorsqu’un cheval apprend que son comportement ne lui permet pas d’échapper à une situation aversive. 

Lorsqu’il est confronté à d’autres situations aversives à l’avenir, le cheval ne fait aucune tentative pour échapper à ces situations. 

Les chevaux sont plus susceptibles d’être à risque de ce problème lorsqu’ils n’ont jamais eu l’occasion de résoudre de tels problèmes, ou lorsqu’ils sont soumis à des situations aversives prolongées et multiples, inévitables. 

Ces chevaux semblent être fermés et incapables d’apprendre de nouvelles choses parce qu’ils ne veulent pas expérimenter leur comportement.

Exemple : Un très jeune poulain attaché et soumis à diverses procédures potentiellement aversives sans possibilité de fuite. Le poulain est très docile par la suite car il inhibe tout comportement actif lorsque les gens lui appliquent les mêmes procédures.

Quels sont les différents types d'apprentissage ?
Il existe 2 types d’apprentissage:
  • les apprentissages non associatifs
  • les apprentissages associatifs
Les apprentissages non associatifs sont des formes d’apprentissage se manifestant soit par l’atténuation soit par l’augmentation d’une réponse comportementale suite à la répétition d’un stimulus.
 
Les apprentissages associatifs sont des processus dans lesquels l’animal apprend à produire une (ou des) réponse(s) comportementale(s) suite à la perception d’un stimulus donné, par association mentale entre les deux.

Source : equipedia.ifce.fr

Qu'est - ce qu'un conditionnement classique ?

Également connu sous le nom de conditionnement du répondant ou conditionnement pavlovien, le conditionnement classique est la liaison subconsciente d’un stimulus auparavant sans signification avec un stimulus significatif . 

Le conditionnement classique implique des réponses involontaires/réflexives telles qu’un clin d’œil, une anticipation alimentaire ou une réaction de peur.

Exemple : Dans la célèbre expérience de Pavlov, des chiens ont appris qu’une cloche sonnait juste avant l’arrivée de la nourriture. La cloche est devenue un prédicteur de nourriture et les chiens ont commencé à saliver, une réponse automatique ou réflexive, lorsqu’ils ont entendu la cloche. 

De la même manière, les chevaux font des associations automatiques, par exemple si une selle cause de la douleur et que le cheval réagit en « agitant » à cause de la douleur, cela peut devenir une réponse automatique et le cheval peut devenir inquiet juste en voyant la selle, même si l’ajustement est améliorée et ne cause plus de douleur.

Qu'est - ce que le renforcement positif ?

L’ajout (donc « positif ») d’un stimulus que le cheval trouve agréable et, par conséquent, a pour effet d’augmenter la probabilité (c’est-à-dire de « renforcer ») qu’un comportement se produise à l’avenir. 

Le fait qu’une récompense soit saillante ou non dépend de la perception du cheval, plutôt que de « l’intention » de l’entraîneur, et un véritable renforcement positif déclenchera le circuit de « plaisir » du cerveau. 

Les récompenses alimentaires ou les grattages sont souvent utilisés avec succès avec les chevaux comme récompenses. 

Les caresses sont souvent considérées comme une récompense mais ne sont pas nécessairement une expérience agréable pour le cheval et, étant donné qu’elles n’ont généralement aucun impact sur le comportement futur, elles ne peuvent pas être considérées comme un renforcement positif.

Exemple : un cheval qui broute dans une haie sera positivement renforcé pour le faire lorsqu’il trouvera une plus grande variété de plantes à manger. 

Qu'est - ce qu'une punition positive ?

L’ajout (donc « positif ») d’un stimulus
aversif qui a pour effet de diminuer la probabilité qu’un comportement se produise à l’avenir. 

Notez que la tentative de punition n’affecte très souvent pas le comportement futur et est donc considérée comme un stimulus aversif non contingent (ou gratuit) plutôt que comme une punition. 

De par sa nature, la punition ne tient pas compte des raisons derrière les comportements indésirables perçus et peut donc constituer un problème de bien-être. 

Exemple : un cheval qui mord peut être frappé au nez et, par conséquent, les morsures deviennent moins fréquentes à l’avenir.

Qu'est - ce que la notion de "cue" ?

Une instruction qui prédit une conséquence si un comportement spécifique est exécuté. 

Le comportement sera alors (dans une certaine mesure) « au signal » ou « sous contrôle du stimulus », offert uniquement en réponse à ce signal et non en l’absence du signal. 

Notez que toute association positive ou négative avec le comportement sera également liée au signal via le conditionnement classique . 

Les signaux impliquant le langage corporel plutôt que la voix ont tendance à avoir plus de succès avec les chevaux.

Exemple : un cheval peut être entraîné à toucher une cible. Une fois le comportement bien établi, le formateur peut utiliser une commande telle que pointer vers la cible pour indiquer le comportement souhaité.

Qu'est - ce que la notion de renforçateurs ?

Il existe 2 types de renforçateurs:

Renforçateur primaire
Quelque chose qui agira naturellement pour augmenter la probabilité qu’un comportement se reproduise à l’avenir.
Exemple : besoin de se nourrir (alimentation / eau), besoin de sommeil, besoin du cycle naturel (espace, mouvement, air, lumière, besoins sociaux, sécurité)

Renforçateur secondaire
Quelque chose qui agira pour augmenter la probabilité qu’un comportement se reproduise à l’avenir uniquement lorsqu’il est associé à un renforçateur primaire via un conditionnement classique . Le renforçateur secondaire « prend » les propriétés du renforçateur primaire .

Exemple : par expérience, le cheval apprend que le bruit du clicker vient avant une récompense alimentaire et donc le clicker « prend » les propriétés de la nourriture et devient lui-même gratifiant. 

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